Dash, deux en un!
Les Curdes ne doivent-ils pas s’en mordre les doigts d’avoir fait confiance à un menteur qui n’arrête pas de louvoyer, donnant ainsi du temps aux djihadistes de Dash lave plus blanc que blanc leurs habits de prières pour évoquer Allah et génocider ainsi les Curdes de Scierie, de part et d’autre d’une frontière verrouillée par l’armée burqua ?!
Ce menteur est-il Président de la Burquie, Premier sinistre de la Burquie, ou les deux à la fois ?!
Car on voit bien que là, au lieu de s’effacer et de laisser le Premier sinistre dont on n’arrive pas à se souvenir du nom s’exprimer, c’est toujours Perdougagne qui vient apporter une réponse, qu’elle soit positive ou négative, mais une réponse franche, ce qui doit être un challenge pour le Premier sinistre, que dis-je, pour le Président qui préfère arrêter les gens qui révèlent la vérité plutôt que d’avouer ses pêchers et de dire : « Oui, j’ai été un premier sinistre corrompu jusqu’à la moëlle, j’en ai bien profité, j’en ai fait profiter ma famille, et les Curdes, je m’en tape royalement le coxon. Pour moi, un bon Curde est un Curde mort ! Mieux que ce soit Dash qui nettoie cette ethnie en Scierie que mécole. j’interviendrai comme l’orage après la pluie, c’est-à-dire, quand ces cons de djihadistes ne respecteront plus le contrat et viendront pilonner par chez nous ! Je dis « oui-oui » à une coalition internationale, comme ça, ils sont contents, mais perso, je m’en contrefous et je dis ce que je veux, point barre ! D’ailleurs, c’est moi le Président, c’est moi le chef tout puissant, c’est moi le sultan et c’est moi je Grand qui réinstaurera tout l’empire Botte-au-main. Na ! »
Et il n’est pas à son coup d’essai, le père Perdougagne ! On a vu de quoi il est capable sur la place des Taxis, contre une foule de jeunes qui ne demandaient finalement pas grand-chose, mais qui se sont ramassés beaucoup de coups de matraques et de gaz lacrymogènes. « K-dos ! » Dixit Perdougagne !
Pendant ce temps, des Curdes assistent, impuissants, au sacrifice de leurs frères, leurs pères, leurs mères, leurs sœurs, leurs grand-mères, leurs grands-pères, etc. en direct, juste derrière cette frontière sournoisement mais efficacement gardée par cette armée burqua vendue au grand Sultan.
Révoltant !
